A l’occasion de la Journée internationale des femmes d’aujourd’hui, qui voit les femmes se battre dans le monde entier pour l’égalité des droits et une vie autodéterminée, l’engagement du LCGB porte sur la solidarité et la justice sociale au 21e siècle.
Sachant que le nombre de femmes actives sur le marché de travail ne fait qu’augmenter et qu’elles contribuent de façon importante à notre richesse économique, l’égalité des genres constitue un élément important dans la croissance économique.
Afin de renforcer la position des femmes sur le marché de travail, le LCGB œuvre pour un combat contre la sous-évaluation du travail des femmes et une adaptation des conditions de travail aux contraintes de famille. Pour le LCGB, il est primordial que le gouvernement prenne les mesures nécessaires pour :
- le développement d’un plan d’action national clair et précis axé sur le genre dans l’orientation professionnelle et dans le domaine de l’éducation ;
- l’incitation des employeurs à mener une politique volontariste pour agir contre la sous-représentation des femmes aux postes de responsabilité ;
- l’introduction du « splitting » des droits de pension à titre transitoire pour les femmes divorcées qui n’ont plus la possibilité de se constituer leur propre carrière d’assurance vieillesse ;
- la mise en œuvre d’une assurance continuée obligatoire en matière d’assurance-pension qui permettra d’éviter des interruptions de carrière pour les parents qui prennent le choix d’arrêter leur activité professionnelle pour se consacrer à l’éducation des enfants.
C’est dans ce sens que le LCGB participe à la grève des femmes. Rejoigne-nous pour :
- défendre l’égalité salariale
- lutter contre toutes formes de discrimination
- promouvoir un environnement de travail inclusif
- soutenir les droits des femmes
Au niveau européen, le LCGB soutient également les revendications de l’ETUC concernant la mise en œuvre de la directive sur la transparence des salaires. Les projets des entreprises de bloquer la transparence des salaires auraient un impact sur plus de 10 millions de femmes actives et leur coûteraient au total au moins 4,8 milliards d’euros chaque année, selon de nouvelles conclusions basées sur la recherche de l’ETUI.
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